Le 10 février 2023, dans un état d'altération dû à la consommation de
drogues et après plusieurs nuits sans sommeil, Pierre Palmade a pris la
décision de conduire afin d'effectuer quelques achats alimentaires.
Malheureusement, il a dévié de sa voie et a violemment heurté une
voiture qui transportait trois passagers. Cette jeune femme, âgée de 29
ans, avait toute une vie devant elle. Depuis quelques mois, après un
combat acharné, elle avait enfin réalisé son rêve : elle était enceinte.
Sa petite Solin-Hazal était attendue pour le 14 mai, un bout de
chou très désiré. Alors qu'elle entamait son sixième mois de grossesse,
la chambre de sa fille était déjà presque prête. La veille de
l'accident, Mila et son conjoint avaient passé leur première nuit dans
leur nouveau cocon, prenant soin de décorer avec amour la petite chambre
rose. Un moment de bonheur intense, le dernier souvenir d'une vie
paisible et heureuse. Depuis lors, ce n'est plus qu'un cauchemar. Après
avoir subi une césarienne, sa fille a été déclarée décédée à 22h51,
après plus d'une demi-heure de tentatives de réanimation.
L'enfant
était en réalité décédée in utero à la suite d'une hémorragie causée
par la violence du choc. Mila est anéantie, tant sur le plan physique
que psychologique. Selon nos informations, à paraître dans votre
magazine Closer ce vendredi 2 février, elle souffre de multiples
fractures vertébrales et dentaires, ainsi que d'un décollement de
l'omoplate. Elle éprouve des difficultés à étendre ses bras et ressent
des douleurs intenses à la jambe droite.
Chaque mouvement
constitue une épreuve pour cette jeune femme d'origine kurde. Cependant,
cette douleur physique n'est rien comparée à la souffrance
psychologique qu'elle endure. Selon une source proche du dossier, cette
ancienne auxiliaire de vie scolaire est plongée dans un état de détresse
psychologique profonde. Bien qu'elle soit suivie médicalement et prenne
des antidépresseurs et des anxiolytiques pour l'aider à dormir, elle
reste incapable de travailler auprès d'enfants, une tâche qui lui était
autrefois familière en tant qu'accompagnatrice d'élèves en situation de
handicap. De plus, elle éprouve des difficultés à reprendre une vie
sociale normale, à fréquenter ses amis, sa famille, ou même à engager
une simple conversation sans être submergée par les larmes.
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