Françoise Hardy lutte contre une maladie persistante depuis près de deux décennies. Son premier diagnostic remonte à l'année 2004, où elle a été identifiée comme atteinte d'un cancer du système lymphatique. Par la suite, en 2015, l'éminente interprète de "Tous les garçons et les filles" a été confrontée à un nouveau défi de santé, cette fois sous la forme d'un cancer du pharynx. Dans une déclaration publiée dans les colonnes du magazine Gala le jeudi 22 novembre, son fils,
Monsieur Thomas Dutronc, a exprimé des inquiétudes quant à l'état de santé de sa mère, en reconnaissant avec préoccupation : "Maman ne se porte pas bien". L'existence de Françoise Hardy a atteint un niveau de souffrance tel que l'on peut légitimement se questionner sur la pertinence de ne pas lui avoir permis de partir lorsqu'elle a frôlé la mort il y a huit années, ainsi exprimé par l'artiste interprète de "Demain". Cette assertion fait référence à la grave chute qu'a subie Françoise Hardy en 2015. Bien qu'il s'efforce de rendre visite à sa mère au moins une fois par mois, Thomas Dutronc reconnaît éprouver des difficultés à lui redonner le moral.
Invité sur le plateau de l'émission "RTL Bonsoir !", Thomas Dutronc a récemment partagé des nouvelles concernant sa mère bien-aimée le lundi 27 novembre dernier. Il a commencé en soulignant les défis de santé auxquels elle a fait face, expliquant qu'elle avait pris la décision de ne plus suivre de traitement en cas de rechute.
Poursuivant son récit, il a ajouté : "Actuellement, elle est confrontée à une problématique. Son médecin nous a assuré qu'avec dix séances, son état s'améliorerait considérablement. Ainsi, elle a suivi ces dix séances, mais cela semble l'avoir profondément affaiblie."
Le fils de Jacques Dutronc a également exprimé des regrets quant à son incapacité à encourager davantage sa mère. "Lorsque je réfléchis à deux ou trois ans en arrière, elle était certes déjà fatiguée, mais nettement moins qu'à l'heure actuelle. Peut-être aurait-elle dû prendre des initiatives plus énergiques. Il se peut que ce ne soit pas de mon ressort de la pousser, il faudrait plutôt qu'elle suive les conseils de ses médecins", a-t-il évalué.
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