Disparition d'Émile : Découvrez la 'Fête du Retour' ce Week-end au Village du Vernet

Le 8 juillet dernier, un événement tragique s'est produit : Émile, un enfant âgé de 2 ans et demi, a subitement disparu. Il était en vacances chez ses grands-parents, dans le paisible hameau du Haut-Vernet, situé dans les Alpes-de-Haute-Provence.

L'enfant est parvenu à échapper à leur surveillance, et depuis lors, malgré des efforts inlassables de recherche, il demeure introuvable. Le mystère entourant sa disparition reste encore à élucider.

Malgré cette tragédie, une fête se déroule ce week-end dans le hameau du Vernet, nommée "la Fête du retour".

Cette célébration a été instaurée il y a 13 ans, initialement dans le but de commémorer un feu d'artifice qui n'avait pu être tiré le 15 août en raison de conditions météorologiques défavorables, comme l'explique Jean-Jacques, un résident du village, lors de son interview sur BFM TV.

La programmation des festivités inclut des activités telles que la pétanque, des jeux pour enfants, et un repas en musique. Cependant, les villageois restent préoccupés par la possibilité d'une arrivée d'individus malveillants parmi les touristes. Malgré cela, la mémoire d'Émile demeure vivace, non seulement dans le village, mais également partout en France.

L’enquête pour retrouver le petit Émile s’élargit. Les gendarmes de la section de recherches de Marseille, appuyés par leurs collègues de diverses unités, vont élargir leurs investigations dans un rayon de 20 kilomètres, a appris Le Figaro d’une source proche du dossier, confirmation une information du Parisien . Il s’agit d’un élargissement au niveau judiciaire, et non pas des recherches de terrain à proprement dit.

L'enquête visant à retrouver le petit Émile prend une nouvelle dimension. Selon une source proche du dossier, les gendarmes de la section de recherches de Marseille, avec le soutien de collègues de différentes unités, vont élargir leurs investigations dans un rayon de 20 kilomètres.

Cette démarche constitue une extension de l'enquête sur le plan judiciaire et ne concerne pas directement les recherches sur le terrain. Cette information a été confirmée, faisant écho à une première publication du Parisien.