Moins de 24 heures après que la détection d'une "forme de cancer" chez
Charles III a été rendue publique, son fils, le prince Harry, a pris la
direction de Londres. Pour la première fois en neuf mois, les deux
hommes ont eu un échange privé à Clarence House, situé à Londres. Bien
que ce face-à-face ait été rapporté comme ayant duré "moins d'une heure"
par la presse anglaise, on peut aisément imaginer qu'il a été empreint
d'une profonde intensité émotionnelle. Désormais, la question
prédominante réside dans la durée du séjour du prince Harry sur la terre
de ses ancêtres et surtout dans ses intentions futures. À peine
avait-il eu le temps de renouer avec son fils que le roi Charles III
s'est envolé pour Sandringham, où il entamera son traitement,
s'éloignant ainsi du tumulte londonien. Néanmoins, selon le "Daily
Mail", il semblerait que son cadet prévoie de séjourner dans la
capitale, probablement à Frogmore Cottage, résidence qui lui avait été
retirée au mois de juin dernier.
Une autre interrogation émerge
quant à la raison pour laquelle Meghan Markle n'a pas effectué le
déplacement jusqu'au Royaume-Uni. Selon Grant Harrold, qui a servi le
prince Charles pendant sept ans lorsqu'il était prince de Galles,
l'épouse du prince Harry aurait estimé "qu'il était préférable de rester
à la maison avec les enfants", comme indiqué au "New York Post". Il
convient de souligner que cette décision ne relève ni d'un égoïsme ni
d'un manque de considération envers son beau-père, dont l'état de santé
n'est pas critique. Il s'agit plutôt de permettre à Harry de partager ce
moment avec son père en toute intimité, une démarche que Meghan estime
être nécessaire pour lui. Selon les dires de l'ancien majordome du
monarque, la belle Américaine a même encouragé son mari à entreprendre
ce déplacement, affirmant qu'il s'agissait d'une étape qu'il devait
franchir seul. Par ailleurs, Grant Harrold assure que l'idée de revenir
tous ensemble, avec Archie (4 ans) et Lilibet (2 ans), était bien dans
leurs projets, mais à un horizon plus lointain. Si ce voyage venait à se
concrétiser, il serait indubitablement source de réconfort pour Charles
III, qui exprime son chagrin d'être si éloigné de ses petits-enfants.
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