Pour la première fois, David Hallyday, fils de Johnny Hallyday et Sylvie Vartan, dévoile les épisodes douloureux qui ont émaillé son enfance, marqués par des querelles dévastatrices. Ces contentieux demeurent profondément ancrés dans sa mémoire, laissant une empreinte indélébile qu'il ne semble pas prêt d'effacer.
Les conflits parentaux ayant laissé
une empreinte indélébile sur son enfance sont abordés dans la dernière
parution de France Dimanche, qui retrace les confidences émanant du
chanteur au cours d'une entrevue accordée au quotidien Le Monde.
Lors de cette discussion, il a évoqué les conséquences douloureuses du
divorce de ses parents, une épreuve dont il a naturellement souffert. La
séparation abrupte de ses illustres géniteurs a instauré une rupture
significative, conduisant à une distance géographique conséquente entre
David Hallyday et Johnny Hallyday, une situation empreinte de motifs
évidents.
Sylvie Vartan avait entrepris de reconstruire sa vie
aux États-Unis, où elle contracta mariage avec le producteur Tony
Scotti, qui se révéla être un remarquable figure paternelle de
substitution pour David Hallyday. La croissance sans la présence
paternelle comme repère s'avérait complexe. Toutefois, cette distance a
eu des avantages indéniables : il n'était plus contraint de supporter
les conflits parfois violents qui opposaient ses deux parents bien-aimés
», rapporte France Dimanche.
David Hallyday était accablé par la
constante déchirure quotidienne entre ses parents. Dans son
autobiographie récente intitulée « Meilleur Album », fraîchement publiée
aux éditions du Cherche Midi, le chanteur lève le voile sur ces «
disputes » mémorables qui ont inéluctablement scellé le destin d'un
mariage. À l'âge de 14 ans, le choc fut monumental pour David, qui se
remémore les « engueulades d'anthologie » parentales, qu'il qualifie de «
folie de son enfance » et qui, à la longue, ont fini par miner l'union
parentale.
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