Un récent développement a émergé dans le tumulte entourant la situation
familiale des enfants d'Alain Delon. Suite à la divulgation
d'informations relatives à la santé de l'acteur, Anouchka, Anthony et
Alain-Fabien manifestent des divergences d'opinions quant à la marche à
suivre concernant le traitement médical de leur père. Une nouvelle
phase contentieuse semble être en cours de préparation, symbolisée par
une démarche judiciaire additionnelle. Hiromi Rollin, qui se présente
comme la compagne du célèbre comédien, a rédigé une correspondance
adressée au procureur de Montargis. Conformément à divers organes de
presse, Hiromi Rollin,
par l'entremise de son avocat Yassine
Bouzrou, formule des allégations graves au sein d'une correspondance.
Cette dernière met en lumière une présumée tentative d'homicide
volontaire dirigée contre l'acteur Alain Delon, ciblant expressément les
enfants de ce dernier. Hiromi Rollin argue que la cessation des
traitements médicaux entrepris par Alain Delon représente une menace
réelle pour sa vie.
Selon les déclarations de Hiromi Rollin, le
traitement contre le lymphome que suit Alain Delon est de nature vitale.
Elle souligne avec insistance que les enfants Delon ne sauraient
ignorer que substituer un protocole médical substantiel par des
pratiques telles que la consommation de jus de fruits et la naturopathie
ne saurait garantir la stabilité de l'état de santé d'un homme
octogénaire affecté par une pathologie sévère.
Dans ce contexte,
elle appelle instamment à la mise en œuvre d'investigations urgentes.
Interrogé par Europe 1, Anthony Delon, l'aîné des trois enfants, réfute
catégoriquement les déclarations jugées peu crédibles. Selon lui, le
traitement expérimental suivi par son père s'avérait être néfaste et
contribuait à sa détérioration. Il conteste vigoureusement les
affirmations avancées par l'avocat Ayela, représentant Alain Delon, et
par Hiromi Rollin, dénonçant leur manque de crédibilité.
Il
s'agit simplement d'annonces médiatiques sensationnelles. La décision
d'interrompre le traitement expérimental de mon père, traitement qui
s'avérait être fatal, a été délibérément prise par lui-même, en
concertation avec ses trois enfants", déclare-t-il. Il ajoute que le
dossier médical étayant cette décision a été transmis au procureur de
Montargis, bien que, à ce stade, ces autorités ne soient pas encore
informées de cette transmission", conclut-il.
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