Affaire Depardieu : Fabienne Carat se Confie sur son Tournage avec l'Acteur, des Révélations Inattendues Émergent !

"L'impunité est inacceptable, de même que l'abus de pouvoir et l'exploitation de la notoriété doivent être catégoriquement condamnés", déclarait Stéfi Celma lors de son intervention sur le plateau de franceinfo en date du lundi 15 janvier. Actuellement, alors que l'affaire Alain Delon suscite de vives discussions, la controverse entourant Gérard Depardieu demeure également un sujet d'importance.

Mise en accusation pour des faits de viols et d'agressions sexuelles, le comédien Gérard Depardieu conserve certes quelques partisans. Néanmoins, le nombre de ceux qui condamnent ouvertement ses comportements inacceptables est en constante augmentation. C'est le cas notamment d'une actrice de la série Dix pour cent, qui a partagé l'affiche avec Depardieu dans le film Les volets verts.

"Gérard Depardieu représente pour moi l'individu s'exprimant de la manière la plus grossière que j'aie jamais rencontré de ma vie. J'ai rapidement pris conscience qu'il était impératif, pour le bon déroulement du tournage, que je maintienne une distance considérable", a-t-elle révélé. Fabienne Carat semble avoir adopté une conduite similaire.

Leur rencontre remonte au début des années 2000, lorsqu'ils tournaient ensemble dans une séquence du film "36, Quai des orfèvres", comme elle l'a exposé dans les colonnes de Télé Magazine en date du mardi 16 janvier. Bien qu'elle affirme n'avoir "personnellement rencontré aucun problème avec lui", la mère de Céleste souligne sa capacité à prendre ses distances lorsque cela s'avère nécessaire.

"En règle générale, je fais preuve d'un fort instinct. Chaque fois qu'au cours de ma carrière, une situation présentait le risque de m'entraîner dans des domaines délicats, je préférais m'en éloigner, même si cela impliquait de perdre des opportunités de rôles", relate-t-elle. Et elle ajoute : "Certes, on peut manquer des occasions, mais on préserve son intégrité. Il m'est arrivé, sur un plateau de tournage, de subir des traitements psychologiques néfastes. À l'heure actuelle, je ne tolérerais plus de telles situations. Je ne suis plus une proie."