En relation avec Mimie Mathy depuis l'année 2003, Benoist Gérard est
principalement reconnu en tant que cuisinier d'exception. Il est, en
effet, diplômé de l'école hôtelière de Saint-Nazaire, où il a initié sa
formation. Ce célèbre chef n'a toutefois pas interrompu son parcours
éducatif à ce stade, car il a choisi de perfectionner ses compétences en
poursuivant des études complémentaires au sein de l'établissement
Hilton de Londres.
La comédienne se souviendra toujours de cette
soirée mémorable d'avril 2003 à Saint-Brieuc, où elle a fait la
connaissance de Benoist Gérard, la personne qui partage sa vie depuis
lors.
Un peu plus d'un an après leur rencontre, Benoist Gérard a
fait sa demande en mariage à Mimie Mathy lors de la période de Noël en
2004.
Il est évident que ces deux amoureux partagent une passion
profonde pour l'art culinaire. Cette passion les a d'ailleurs incités à
réaliser leur projet de s'investir dans le domaine viticole. Tous deux
étant de fervents amateurs de vin,
il était rare qu'ils ne
partagent pas une bouteille à leur table lors de leurs déjeuners.
Benoist Gérard a initialement produit du vin pour leur usage personnel.
Toutefois, conscient du potentiel et des opportunités qu'offrait cette
entreprise sur le marché, il a pris la décision de s'engager dans cette
aventure, avec la présence et le soutien de Mimie Mathy à ses côtés.
Ce
n'est que l'année dernière, au mois de juin, que le couple a finalement
dévoilé les résultats de leurs efforts laborieux, en utilisant le
compte Facebook du chef pour présenter leur production.
"L'aventure
Minoist se poursuit avec le lancement du 'Le petit Minoist'. À travers
cette nouvelle déclinaison de notre domaine, j'ai souhaité rendre
hommage à ma femme,
sans laquelle Minoist n'aurait pas vu le
jour. C'est pourquoi j'ai choisi de réutiliser le dessin de notre
faire-part de mariage, qui symbolise notre union."
Malheureusement,
l'été n'a pas été clément pour les activités de Mimie Mathy et Benoist
Gérard. Selon ce dernier : "Le travail dans les vignes de Minoist touche
à sa fin.
La gestion de ce millésime s'est avérée complexe en
raison d'un printemps sec, d'un mois de juin pluvieux, et d'une pression
atmosphérique basse en juillet, entraînant des niveaux élevés
d'humidité propices aux maladies.
Le mildiou sur les grappes a
donc fait son apparition et a été difficile à maîtriser." Il poursuit en
expliquant : "Je n'ai rien lâché au cours de ces deux derniers mois, et
aujourd'hui, j'ai la chance de constater que mes vignes sont en bonne
santé, avec de belles grappes, pleines de vitalité."
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