Une nouvelle source d'inquiétude émerge. Alors que Florent Pagny avait
semblé relativement en forme lors de sa tournée, comme en témoigne le
documentaire diffusé le vendredi 1er septembre sur TF1, sa situation de
santé semble désormais précaire. En effet, après son récent séjour en
clinique, où il avait été admis pour des raisons médicales, le chanteur,
qui lutte contre un cancer du poumon, a vu la tenue de son concert
prévu deux jours plus tard au festival Foire en Scène de
Châlons-en-Champagne remise en question.
Cependant, il en faut
davantage pour que cet homme de 61 ans renonce à ses fidèles
admirateurs. Selon les informations rapportées par BFMTV, après avoir un
temps hésité, Florent Pagny aurait finalement choisi d'honorer» son
engagement envers cet événement. L'ancien coach de «The Voice» a eu
l'opportunité, ce samedi, de fournir des précisions sur l'évolution de
sa maladie lors d'une entrevue avec Ophélie Meunier sur RTL, au cours de
l'émission «Confidentiel». Cette discussion a été enregistrée la
veille, c'est-à-dire vendredi.
D'emblée, il aborde la question en
déclarant : «Cela n'affecte pas mon sommeil», adoptant une attitude
feignant la nonchalance, pour ensuite ajouter : «Je ne m'en préoccupe
pas et je n'ai aucune envie d'y penser. Pour ma part, je préfère me
concentrer sur le positif et sur les projets à venir», insiste-t-il.
Cependant, malgré toute sa détermination, il reconnaît : «La santé est
une réalité complexe, rien n'est jamais définitif. Il y a de nombreuses
étapes, de nombreux moments où tout peut être remis en question».
Florent
Pagny explique que lorsqu'on est confronté à un cancer, la routine
quotidienne est marquée par une série de vérifications médicales, qu'il
s'agisse de prises de sang, de scanners ou de PET-scans. Il souligne que
l'objectif constant est de surveiller si la situation reste stable ou
si de nouvelles manifestations de la maladie se manifestent. Il aborde
ensuite son propre cas en particulier, en déclarant : « Comme c'est le
cas de manière régulière, la maladie fait surface périodiquement, et à
chaque fois, cela s'accompagne de traitements. On la surnomme le "crabe"
car elle s'accroche avec persévérance, elle est résiliente. Nous nous
accrochons et vivons au gré de ces contrôles. Ensuite, certains
traitements sont plus exigeants que d'autres », reconnaît-il.
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