Depuis plusieurs semaines, un conflit émerge au sein de la famille
d'Alain Delon concernant l'état de santé du célèbre acteur et la gestion
subséquente. Tandis qu'Anthony et Alain-Fabien Delon expriment leur
préférence pour que leur père demeure à Douchy, sa fille, Anouchka
Delon, aspire à ce qu'il puisse rejoindre la Suisse, où elle réside,
pour y recevoir des soins appropriés. Par ailleurs, en ce qui concerne
la répartition successorale de l'acteur, il est rapporté qu'Alain Delon
aurait pris la décision d'attribuer 25% de ses biens à chacun de ses
fils et 50% à sa fille.
Cependant, cette disposition pourrait
être sujette à révision, comme le suggère une enquête menée par nos
confrères du Parisien. En effet, un élément spécifique de cette
succession devrait faire l'objet d'une attention particulière et
pourrait potentiellement influencer considérablement le cours des
événements. L'élément crucial qui pourrait influencer l'issue de la
succession d'Alain Delon réside dans la date de rédaction de son dernier
testament. Selon l'analyse de Valérie Bentz, responsable des études
patrimoniales à l'UFF, une banque spécialisée en gestion de patrimoine,
Alain Delon a le droit d'accorder une part supplémentaire de la quotité
disponible à sa fille, lui permettant ainsi de bénéficier d'une part
supérieure à sa réserve héréditaire. Cependant, si cette décision a été
prise tardivement, pendant une période où l'acteur était considéré comme
vulnérable, ses deux autres fils conservent la possibilité de contester
cette répartition. Dans ce cas, le juge pourrait réévaluer la
distribution de l'héritage et opter éventuellement pour une division en
trois parts égales.
La détermination de la date de rédaction du
dernier testament d'Alain Delon revêt une importance capitale dans le
dénouement de sa succession. Selon l'analyse préliminaire de Valérie
Bentz, responsable des études patrimoniales à l'UFF, une institution
spécialisée en gestion de patrimoine, Alain Delon est en droit de
favoriser sa relation avec sa fille en lui octroyant une part de la
quotité disponible en sus de sa part de réserve héréditaire. Cependant,
si cette décision a été prise à une période tardive, durant laquelle
l'acteur était considéré comme étant dans une situation de
vulnérabilité, ses deux autres fils disposent du droit de contester
cette répartition. Dans cette éventualité, le tribunal pourrait
réévaluer la distribution de l'héritage, optant éventuellement pour une
division en trois parts égales entre les enfants.
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